Patronne de la patrouille: St Kateri Tekakwitha

Publié le par Lidia

       LA BIENHEREUSE KATERI TEKAKWITHA

La bienhereuse Kateri Tekakwita est née en 1656 à Ossernenon (Auriesville , NY) d'une mère algonquine chrétienne et d'un père agnier.

En 1660, une épidemie de petite vérole lui enleva son père, sa mère et son petit frère. La petite échappa à la mort mais la maladie lui laissa la vue affaiblie et le visage grêle.

Avec d'autres survuvants, elle s'installa un peu plus à l'ouest de son village natal et plus tard sur la rive nord de Mohawk. Dès l'âge où les jeunes Amérindiennes pensaiste aux fiançailles, son oncle, un des chefs du village, ainsi que ses tantes, lui cherchent un mari convenable. Elle ne voulu épouser aucun de ses prétendants: elle avait un seul desir: recevoir le baptême.

En 1675, Jacques de Lamberville, jésuite, prit la direction de la Mission Saint-Pierre,de Gandaouagué. La jeune fille lui confia le secret de son coeur: devenir chrétienn. Cependant, J. de Lamberville, tout en admirant sa simplicité et sa foi, l'obligea de suivre la voie ordinire des catéchmènes. Six mois plus tard le dimanche de Pâques, le missionnaire la baptisa. Elle avait vingt ans.

Jusqu'alors, on l'appelait Tekawitha. Au bâpteme elle reçu le nom de Catherine, en iroquois Kateri.

Au cours de l'automne 1677, pour éviter la pérsecution elle s'évada de son cantonagnier pour aller vivre à la mission Saint-François-Xavier sur le Saint Laurent. Le Père de Lamberville lui confia une lettre pour le Père Jacques Frémin, supérieur: "C'est un trésor que nous vous donnos, écrivit-il, comme vous le reconnaîtrez bientôt. Gardez là donc bien..." Le Père Frémin se rendit vite conte qu'elle était bien un trésor.

Quelques mois après son arrivée, le jour de Noël 1677, on permit à Kateri de faire sa première Communion.

Le 25 mars 1679, le Père Frémin permit à Kateri Tekakwitha de prononcer privément le voeu de virginité et de consacrer à Notre Dame qu'elle aimait éperedument.

Au debut de 1680, sa santé qui n'avait jamis été florissante s'altéra davantage à la suite d'une course avec des compagnes à Laprairie, quelques KMS en aval du Saint-Laurent, par un froid de pierre fendre. Le mardi de la Semaine Sainte, elle reçu le saint Viatique (sacrement des malades). Le lendemain, elle murmura :"Jésus, Marie" et elle alla à la rencontre du Seigneur. Elle avait vingt-quatre ans. En moins d'un quart d'heure son visage devint d'une beauté à ravir les missionnaires et tous les seins.

Publié dans abeille

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L
En lisant cet article sur la vie de Kateri Tekakwita, je me rappelle la merveilleuse veillée que Lucie et Clotilde nous avaient fait l'année dernière (2005) dans un w-e de patrouille aux Voiros... La veillée était vraiment belle et j'ai appris beaucoup de choses sur la vie de cette sainte.<br /> Je prie pour vous toutes de la patrouille, la Compagnie et pour le district<br /> Lidia
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